Les expressions d’Alison étaient très difficiles à déchiffrer. Je pouvais voir qu’elle commençait à me regarder d’une toute autre façon. Je savais pertinemment qu’elle devrait être effrayée et qu’elle devait avoir peur d’avoir un vampire devant elle. Mais elle savait qu’elle pouvait me faire confiance non ? Jamais je ne l’avais mordu et ce n’était pas aujourd’hui que j’allais le faire. Je voulais qu’elle comprenne ce que je ressentais et qu’elle ne me voit plus comme un monstre. D’ailleurs, qu’essayait-elle de me montrer à travers ce regard ? De la haine ? De la peur ? De la honte ? Je n’en avais aucune idée.
Je la vis se lever malgré mes nombreuses protestations pour se diriger vers son étagère où elle y trouva une boîte qui contenait les lettres d’Emily adressées à Alison. Penser à Emily me fit rappeler que je ne savais toujours pas s’il fallait que je lui parle de notre rencontre. Bien entendu je tairai toute la partie fantastique mais elle avait le droit de savoir que son amie était en vie.
« Je m'en fiche. » m’avait-elle répondue en se retournant vers moi et en croisant les bras lorsque je lui avais mentionné le fait que mon sang était en train de la guérir.
Je poussai un soupir et m’asseyais sur son lit en posant mes mains sur mon visage. N’y avait-il pas une seule chose dans ce monde dont se préoccuper Alison ? Parfois j’avais l’impression de faire face à une gamine de quinze ans tellement ses réflexions pourraient paraitre puériles. J’étais lasse mais le pire était qu’elle était au courant pour moi. Je ne savais toujours pas encore si je devais lui faire oublier toute cette soirée.
« Tu sais Alison, tu devrais commencer à te préoccuper des autres un peu parce que là ça commence à devenir barbant et lassant. Et un autre truc, je peux faire bien d’autres trucs comme par exemple t’effacer la mémoire rajoutai-je en me relevant et en m’approchant vers elle. Je suis lasse Alison de ton comportement enfantin et j’ai vraiment envie de te faire oublier toute cette soirée. »
Mzlle Alice.
Alison Dilaurentis
Ma petite présentation : _____________________
Mes conversations : 403 J'ai emménagé le : 22/01/2014 Localisation : Cacher quelque part. Ma profession : Joueuse de cache-cache professionnelle. Âge : 24
Je n'en pouvais plus d'être enfermer ici et que l'on m'oblige à rester assise, j'avais envie de courir partout, de partir et d'enfin être libre, j'aurais tellement aimer pouvoir serrer certaine personne dans mes bras.Mais en se moment, je vit que ma réponse ne plu pas à Caroline. « Tu sais Alison, tu devrais commencer à te préoccuper des autres un peu parce que là ça commence à devenir barbant et lassant. Et un autre truc, je peux faire bien d’autres trucs comme par exemple t’effacer la mémoire. Je suis lasse Alison de ton comportement enfantin et j’ai vraiment envie de te faire oublier toute cette soirée. »Des larmes commença à dégouliner le long de mon visage et je du m’asseoir pour être sur de ne pas tomber, elle ne savais pas que je ne pensais que à elle non-stop, certes se n'étais pas la personne en qui j'avais le plus confiance sur cette terre, mais c'étais la seule pour le moments qui puise me donner de ses nouvelles.Je fixa alors le placard où je venais de ranger les lettres, me souvenant de quelque passages, de la souffrance que j'avais fait endurer à Emily, je retourna la tête vers Caroline. « Tu ne peux pas savoir à qu'elle point mes penser ne sont pas pour moi...Tu ne peux pas savoir à qu'elle point elle me manque, à qu'elle point je regrette tout ce que je lui ai fait endurer, à qu'elle point j'aimerais tout changer, mais toi mieux que personne sais que le passer ne se change pas.Tu ne sais pas à qu'elle point je m'en veux pour tout ce que je lui ai fait endurer, à qu'elle point ma seule volonté est d'aller la retrouver, mais je peux pas, car se serait lui donner l'espoir que je reste ici pour toujours et pour le moment, ce n'est pas le cas. Tu ne sais pas à qu'elle point je l'aime et tu ne sais pas à qu'elle point elle occupe mes penser chaque seconde sans sortir une seule fois de ma tête...Je t'en pris Caroline...Tu est la seule qui puisse m'aider...Dit moi comment elle vas...Comment vas Emily? » Je n'avais jamais pleurer autant de ma vie et je ne m'étais jamais confier à personne au sujet de Em et le faite que se sois à Caroline que je parle en première étais extrêmement bizzare.
Je fus complètement abasourdie lorsque j’observai des larmes couler sur son beau visage. Pourquoi Alison pleurait-elle ainsi ? C’était bien la première fois que je la voyais se laisser aller, elle qui d’habitude se montrait toujours aussi forte et intouchable. Comme quoi, j’avais enfin touché une corde sensible mais je n’en étais pas spécialement fière.
« Tu ne peux pas savoir à qu'elle point mes penser ne sont pas pour moi...Tu ne peux pas savoir à qu'elle point elle me manque, à qu'elle point je regrette tout ce que je lui ai fait endurer, à qu'elle point j'aimerais tout changer, mais toi mieux que personne sais que le passer ne se change pas.Tu ne sais pas à qu'elle point je m'en veux pour tout ce que je lui ai fait endurer, à qu'elle point ma seule volonté est d'aller la retrouver, mais je peux pas, car se serait lui donner l'espoir que je reste ici pour toujours et pour le moment, ce n'est pas le cas. Tu ne sais pas à qu'elle point je l'aime et tu ne sais pas à qu'elle point elle occupe mes penser chaque seconde sans sortir une seule fois de ma tête...Je t'en pris Caroline...Tu est la seule qui puisse m'aider...Dit moi comment elle vas...Comment vas Emily? "
Je restai sans voix et je fus incapable de lâcher un seul mot dans les quelques secondes qui suivirent. Alison avait visiblement très mal pris ce que je lui avais balancé mais elle avait enfin réagit. Je comprenais parfaitement ce qu’elle voulait dire et je regrettai qu’on en soit arrivé là de cette façon. Enfin Alison me montrait ce qu’elle ressentait réellement au fond d’elle. Je m’approchai vers elle et la pris dans mes bras en souriant.
« Ce n’est pas la peine de te mettre dans tous ces états tu sais. Mais enfin tu m’avoues ce que tu ressens véritablement et que tu arrêtes de te cacher derrière cette facette qui ne te ressemble pas. Emily va très bien et tu lui manques beaucoup. Actuellement, on est toujours à ta recherche mais je pourrai te raconter tout ce qu’elle fait si tu veux » rajoutai-je en me détachant d’elle et en allant cueillir ses larmes encore toutes chaudes.
Mzlle Alice.
Alison Dilaurentis
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Si une personne m'aurait dit qu'un jour, je serait dans les bras de Caroline en pleure, j'aurait dit que cette personne étais folle.Pourtant, c'étais bien ce qui étais entrain de se passer.Je n'en pouvais plus de me cacher, de retenir les larmes qui menaçait de couler chaque seconde, j'avais besoin de me lâcher et d'exprimer ce que je ressentais.J'aimais Emily plus que je n'avais jamais aimer quelqu'un d'autre avant, le faite que se sois Caroline qui l’apprenne en première étais certes, très bizarre, mais après tout, malgré tout ce que je disait, j'avais toujours su que je pourrait compter sur elle.C'étais surement pour cette raison que je la détestais, elle avais toujours été adorable avec tout le monde et je savais qu'un jour où l'autre je finirait par lui avouer des choses personnelle, comme je venais de le faire à cette instant.Mais j'étais heureuse de mettre enfin débarrasser de certaine choses, j'étais heureuse d'avoir enfin avouer mes sentiments pour Emily à quelqu'un, bien que se ne sois pas à elle. « Ce n’est pas la peine de te mettre dans tous ces états tu sais. Mais enfin tu m’avoues ce que tu ressens véritablement et que tu arrêtes de te cacher derrière cette facette qui ne te ressemble pas. Emily va très bien et tu lui manques beaucoup. Actuellement, on est toujours à ta recherche mais je pourrai te raconter tout ce qu’elle fait si tu veux. » Bien qu'elle me manquais, je ne voulais pas connaitre toute sa vie, en réalité je trouvais sa affreux de suivre les gens pour savoir le moindre fait et geste qu'ils font, bien que je l'avais fait déjà quelque fois, je n'en avais plus envie, car d'un coté, sa me tuais.Je ne voulais pas qu'elle me raconte à qu'elle point Emily étais heureuse, qu'elle rigolais en permanence, que je ne lui manquais pas, je ne voulais pas entendre sa. Et puis, je pense que à moins qu'elle veuille me détruire, elle ne me racontera jamais à qu'elle point Emily s'amuse sans moi, à qu'elle point je ne lui manque pas.Je recula de près de Caroline pour essuyer mes larmes seule.« Et c'est certainement pas grâce à moi...» Murmurait-je pour répondre au faite qu'elle étais heureuse.
Je serai Alison dans mes bras et je pensai sincèrement qu’elle allait me repousser mais ne le fis pas à ma plus grande surprise. J’entendais ses larmes couler et je la laissai faire. Elle avait besoin de se sentir aimée, de se sentir en sécurité et ça je le comprenais parfaitement.
« Et c'est certainement pas grâce à moi...» m’avait-elle dit en s’écartant légèrement et en séchant ses larmes.
Je fronçai les sourcils et la prenais par les épaules. Si je le pouvais, j’aurais vraiment aimé la secouer mais je m’abstins de le faire.
« Dis pas n’importe quoi ! Elle n’est pas heureuse et ça se voit. Tu lui manques et elle n’a qu’une envie : te revoir et te serrer dans ses bras. Ali tu es une amie et c’est pour cela que je suis franche avec toi-même si parfois ça peut déplaire ! Elle t’aime bon sang, quand vas-tu ouvrir les yeux ? »
Mzlle Alice.
Alison Dilaurentis
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Je voyait bien que la seule chose que Caroline voulait pour le moment c'étai me giffler pour me réveiller, mais j'étais bel et bien réveiller et sûr de moi, mais elle ne le voyait pas de cette angle là moi.J'étais persuader qu'Emily étais beaucoup plus heureuse sans moi, et en même temps, ce n'est pas bien compliqué vous tout le mal que je lui avais fait endurer durant toute ses années, elle ne pouvait être que soulager de ma disparition, mais surtout de ma fausse mort. Après tout, la dernière fois que j'avais été la voir, et qu'elle pensais, comme d'habitude rêver, elle m'avais clairement dit que je lui avais gâcher la vie. « Dis pas n’importe quoi ! Elle n’est pas heureuse et ça se voit. Tu lui manques et elle n’a qu’une envie : te revoir et te serrer dans ses bras. Ali tu es une amie et c’est pour cela que je suis franche avec toi-même si parfois ça peut déplaire ! Elle t’aime bon sang, quand vas-tu ouvrir les yeux ? » Ouvre les yeux, c'étais elle qui devait ouvrir les yeux.Elle m'aimais serait la phrase la plus exacte, mais je l'avais trop déçu, je lui avais fait trop de mal pour qu'elle continue de m'aimer comme elle l'avais fait pendant plus de deux ans.Pendant deux ans, je m'étais amuser à tout gâcher, lui fessant croire que je ne ressentais rien pour elle et maintenant je me retrouvais à lui faire croire que j'étais morte, mais après tout sa je le fessait croire à tout le monde.Je croisa les bras et fixa Caroline.« Non. Ce n'est plus le cas. »
Je ne sais pas pourquoi mais j’arrivai à voir ce qu’Alison pouvait ressentir. Et visiblement, elle ne semblait pas convaincue par ce que je disais. Je poussai un long soupir et arquai un sourcil lorsqu’elle croisa les bras. A quoi bon lui dire tout ça si au final elle n’écoutait même pas ? A quoi servait cette conversation ? A rien… Puisqu’Alison était persuadée d’être la méchante dans l’histoire.
« Non. Ce n'est plus le cas. »
Bon d’accord et alors ? Elle pouvait toujours essayer de recoller les morceaux et puis j’étais certaine qu’Emily l’aimait encore. Simplement Alison était beaucoup trop agaçante et aveugle pour s’en rendre compte. Je ne savais même plus quoi faire et même plus quoi répondre.
« Et je peux savoir pourquoi ? Pourquoi est-ce que tu penses qu’elle ne t’aime plus ? En même temps, vu ton comportement enfantin, je n’ai pas trop de mal à te croire finalement… »
Mzlle Alice.
Alison Dilaurentis
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Je n'avais jamais été proche de Caroline, alors je ne me comprenait pas moi même.Comment je pouvais lui faire confiance, alors que j'avais toujours eu peur d'elle?Oui, elle me fessait peur et c'est pour cette raison que j'étais aussi froide avec elle.Mais aujourd'hui, la tristesse m'avais gagner, alors je m'étais confier à la première personne et pas de bol c'étais tomber sur elle. « Et je peux savoir pourquoi ? Pourquoi est-ce que tu penses qu’elle ne t’aime plus ? En même temps, vu ton comportement enfantin, je n’ai pas trop de mal à te croire finalement… » La tristesse se changea et la haine prit le dessus.Pour une fois que je me confiais à elle, que j'essayais d'être gentille, elle recommençait, à se demander qui étais la personne la plus enfantine de la pièce.J'aurais pu, je lui aura sauter dessus pour l'égorger vite, juger des gens qu'elle ne connais pas, elle étais forte, c'étais complètement cliché.Elle étais aller trop loin, beaucoup trop loin et je pensais que jamais plus je ne lui confierais quelque chose.Elle me dégouttais encore plus que au début, comment j'avais fait pour lui faire confiance?Je me le demandais, car elle étais vraiment fausse et hypocrite sur le coup.Je la haïssais plus que je ne l'aimais et aujourd'hui encore plus que hier.Je m’avança d'elle et hurla. « J'essaie d'être gentille avec toi et voilà ce que je reçois en retour?Tu sais quoi, j'ai pas besoin de toi, je m'en sortirais seule.Sort de cette maison, de suite. » Je me dirigea vers la porte, avant de l'ouvrir en grand.
Bizarrement, je savais que ma dernière phrase n’allait pas lui plaire mais je n’avais pas pu m’empêcher de la sortir. Je n’étais vraiment qu’une idiote, elle venait enfin de se confier à moi et je l’avais encore rembarré. En même temps, j’avais agi exactement comme elle, rejetant sans arrêt les autres. Elle ne pouvait pas m’en vouloir d’avoir réagi comme elle mais je n’étais pas elle. J’étais Caroline Forbes et cette période où je n’étais qu’une garce était révolue et derrière moi. Il fallait que je rattrape mon coup, je le sentais au plus profond de moi-même.
« J'essaie d'être gentille avec toi et voilà ce que je reçois en retour?Tu sais quoi, j'ai pas besoin de toi, je m'en sortirais seule.Sort de cette maison, de suite. » hurla t-elle en se dirigeant vers la porte et l’ouvrit en me regardant.
Non, je n’allais pas partir maintenant. Toute cette histoire ne pouvait pas se terminer comme ça. Alison était mon amie et je voulais qu’elle le comprenne.
« Ecoute Alison, je suis désolée d’accord ? J’ai réagi bêtement mais tu vois ce que ça fait lorsque tu me renvoyais toute à la figure comme je viens de te le faire ? J’ai changé et je ne suis plus cette fille-là. Je tiens vraiment à t’aider Ali mais il faut que tu me laisses t’aider. Je veux être ton amie, je veux pouvoir te protéger contre ce qui veut te tuer mais je veux que tu me respectes. Je veux que tu me parles correctement s’il te plait… »
Mzlle Alice.
Alison Dilaurentis
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Je ne voulais plus rien savoir, j'avais essayer de l'aider, d'être gentille avec elle, mais encore une fois je me ramassais tout à la figure.Tant pis pour elle, elle avais plus qu'à se débrouiller seule et sans moi.Je ne voulais plus qu'elle me regarder, je ne voulais pas qu'elle sois près de moi, je voulais qu'elle sois le plus loin possible.Pendant quelque instant, j'avais penser qu'elle étais devenue une amie, mais une vrai amie et là je me rendais compte qu'elle étais loin de l'être, elle étais même tout l’opposée.Je la détestais, je ne voulais plus la voir. « Ecoute Alison, je suis désolée d’accord ? J’ai réagi bêtement mais tu vois ce que ça fait lorsque tu me renvoyais toute à la figure comme je viens de te le faire ? J’ai changé et je ne suis plus cette fille-là. Je tiens vraiment à t’aider Ali mais il faut que tu me laisses t’aider. Je veux être ton amie, je veux pouvoir te protéger contre ce qui veut te tuer mais je veux que tu me respectes. Je veux que tu me parles correctement s’il te plait… » S'excusez ne servait plus à rien, je ne voulais plus devoir la supporter.En se moment, si elle serait sur le point de mourir devant moi, je rigolerais, car c'est tout ce qu'elle méritais.Mais qu'elle idiote, elle étais déjà morte et je savais que c'étais un de ses point sensible, alors autant jouer avec sa, qui sais, peut-être que je pourrait m'amuser au moins un minimum, je ferma la porte, m'approcha de la fenêtre et l'ouvrit pour lui faire comprendre qu'elle n'avais cas sauter, car c'étais tout ce que les gens comme elle méritais.« Bien sûr c'est normal, tu es stupide, tu ne pourrais pas réagir autrement.Je m'en suis toujours tirer seule et ça ne vas pas changer maintenant et ce n'est surtout pas un monstre comme toi dont j'ai besoin. Sort! De suite! »
Visiblement, Alison n’était pas prête de me pardonner même si ça ne m’étonnait pas vraiment au final. Cette fille me sortait par les yeux, elle commençait sérieusement à m’énerver. Je ne méritais pas qu’elle parle sur ce ton et qu’elle me manque de respect. Elle se prenait pour qui franchement ? Je voulais bien être gentille mais elle avait largement dépassé les bords.
« Bien sûr c'est normal, tu es stupide, tu ne pourrais pas réagir autrement.Je m'en suis toujours tirer seule et ça ne vas pas changer maintenant et ce n'est surtout pas un monstre comme toi dont j'ai besoin. Sort! De suite! »
Je fronçai les sourcils et serrai les poings. Elle venait de me traiter de stupide ? Je me mordis la lèvre inférieure pour me contrôler mais lorsqu’elle me traita de monstre, ce fut la goutte d’eau qui déborda du vase. Je me rapprochai d’elle à une vitesse vampirique et lui empoignai le cou en la poussant contre le mur. Mes yeux devinrent noirs et mes canines sortirènt d’elle-même. Oh oui, j’avais envie de la mordre, là tout de suite. Mais elle ne méritait pas que je me mette dans cet état-là.
« Redis-moi encore une seule fois que je suis stupide et je te promets que tu ne reverras pas le soleil de sitôt. Tu veux que je sois un monstre ? Sois contente, tu l’as enfin devant tes yeux" hurlai-je, incapable de me contrôler.
Il ne fallait jamais pousser un bout un vampire. Pourquoi se comportait-elle comme ça avec moi ? Et merde, il fallait que je me reprenne si je ne voulais pas la tuer.
« Ne reviens plus jamais me voir Alison ! Cette fois-ci c’est moi qui te hais et crois-moi la prochaine fois que je te vois, tu le regretteras ! » Rajoutai-je en la lâchant et en partant à toute vitesse.